19 nove.2010

Situé dans Darling Harbour en bordure de la baie, l’aquarium présente, dans des environnements reconstitués, plus de 12 000 créatures aquatiques représentant 650 espèces d’eau de mer et d’eau douce.

Les rivières du sud
La rivière Murray-Darling est la plus large d’Australie mais la pollution rend difficile les conditions de vie de ses occupants aquatiques. Des aquariums présentent le Murray cod, le plus gros poisson de rivière d’Australie et l’ornithorynque qui se cachait bien puisque nous ne l’avons pas vu.

La grande barrière de corail

C’est le plus grand récif corallien au monde. ces eaux recèlent plus de 2000 espèces de poissons et d’innombrables coraux mous et durs. De nombreux aquariums font découvrir cette faune incroyable : poissons colorés, anémones de mer, … Un aquarium géant avec des tunnels en verre permet d’observer des requins tropicaux, des raies géantes ainsi que des centaines de petits poissons (poisson papillon, poisson clown, chelmans à bec, platax, …).

Les rivières du nord
Les périodes humides des moussons suivies des grandes vagues de sécheresse donnent une vie aquatique unique dans le nord du pays. On y trouve de nombreux poissons de rivières mais le prédateur principal que nous avons pu voir est le crocodile barramundi.

Les mers du sud

Contrastant avec les eaux calmes des récifs coralliens, les mers du sud sont plus agitées et rendent difficiles les conditions de vie de la faune marine. Des petits aquariums présentent des hippocampes, pieuvres et poissons de roches. Un grand bassin amarré dans la baie avec vue sous marine ou océanarium permet d’observer les tortues géantes et les énormes requins blancs et gris dont certains font plus de 300kg.

Les mers du nord

Un autre oceanarium permet d’observer le milieu tropical du mystique dugong ou « vache de mer », un animal protégé car trop chassé. A ses cotés, on peut voir de magnifiques raies et des poissons très colorés.

Nous avons également vus des coraux fluorescents, des « jelly » méduses, des tortues au long cou, des poissons multicolores (et reconnus tout ceux dans Nemo), mais aussi des mérous tachetés, des wobbegongs, des requins blancs, …
On recommande en tout cas cette visite même si pour Adrien « ça manque de pingouin ». outre les poissons, Yann a aimé l’expo temporaire qui traitait d’après les estimations évolutives des scientifiques, des poissons du futur. Au final on a tous découvert des espèces que nous n’avions jamais vu et apprécié la visite.